Lectures

Vous trouverez, ici, chaque mois, la présentation de livres ou d’articles qui jalonnent la réflexion des différents groupes du laboratoire national des initiatives. 

Pour chacun un court  abstract, accompagné d’une présentation audio, permettra à chacun de choisir de télécharger s’il le souhaite une recension plus complète au format pdf.

Revue du crieur Delphine Horvilleur

Les vertus de l’échec – Charles Pépin

 

Charles Pépin est enseignant, écrivain et philosophe et vient notamment de sortir un ouvrage intitulé « La rencontre une philosophie »

L’essai qui nous intéresse ici est celui qu’il a consacré à la question de l’échec et qu’il a intitulé « Les vertus de l’échec » en 2016.

Un essai qui questionne la vision et la place donnée à l’échec dans notre société. Et si cet essai nous permettait de lancer le débat au sein de nos communautés éducatives ?

L’avenir des religions – Delphine Horvilleur

 

Cet entretien entre Delphine Horvilleur (une des trois femmes Rabbin de France) et « la revue du crieur » date de juin 2019.

Dans cet article consacré à l’avenir des religions, Delphine Horvilleur aborde des questions qui viennent faire écho à notre travail sur l’école dans le monde qui vient et c’est en ce sens que nous proposons à la réflexion les quelques lignes qui suivent…

C’est essentiellement sur la première partie de  cet e ntretien que nous allons nous centrer afin de faire des liens avec notre travail sur la prospective.

Revue du crieur Delphine Horvilleur

C’était mieux avant – Michel Serres

 

Cet ouvrage sorti en 2017 aux éditions « Le Pommier » est pensé et présenté comme faisant suite à un de ses précédents ouvrage intitulé « Petite Poucette ». Avec cet essai, Michel Serres propose de regarder d’un peu plus près les arguments des plus anciens qui ne cessent de répéter « C’était mieux avant ».

Et le ton est donné dès le départ avec ce sous-titre ravageur :

« Dix grands papas ronchons ne cessent de dire à Petite Poucette, chômeuse ou stagiaire qui paiera longtemps pour ces retraités : c’était mieux avant. Or, cela tombe bien avant j’y étais »